La qualité des huiles essentielles
1- L’identification de l’espèce botanique : nom latin.
Choix des biotopes naturels ou de cultures, le choix des clones, les types de culture, de récolte, le moment de celle-ci, le terrain, le pays de traçabilité.
Ex : Salvia sclarea, origine France, riche en esters.
Salvia officinalis, origine Balkans, riche en Cétones
2- L’organe producteur : op de la plante distillée
Mode d’extraction : soit par distillation à la vapeur d’eau ou par expression à froid réalisée sur une partie spécifique de la plante, les sommités fleuries, les fruits, les racines, les feuilles. Une même plante peut élaborée, différentes essences en façon de la partie utilisée et distillée : exemple l’oranger. Les feuilles donnent HE de Petit grain bigaradier, les fruits donnent l’essence d’orange, les fleurs donnent HE de Néroli.
3- Spécificité biochimique (sb)
Définie par analyse chromatographique qui permet de séparer les substances et de les quantifier. Cette analyse va certifier le terroir d’origine de l’huile essentielle et définir ses propriétés spécifiques ex : linalol, 1,8 cinéole, limonène, citrals, géraniol, etc... Les huiles essentielles ne doivent pas être non déterpénées, non rectifiées, non reconstituées chimiquement, non diluées et sans solvants.